Luc Marandet s’est prêté amicalement au jeu des questions sur son recueil de morceaux choisis, Dans la nuit intérieure. Découvrez ses réponses…
Interview
1/ Dans la nuit intérieure est un livre constitué de morceaux choisis, extraits de vos autres œuvres. Pourquoi avoir fait ce choix ?
Avant et au cours de la publication de mes livres auprès de KDP, j’ai eu tout le loisir de les lire et de les relire, au point de les connaître dans les moindres recoins…
Et en même temps, j’ai pu en mesurer la difficulté de les promouvoir individuellement.
J’ai alors songé à en extraire ‘’des passages chargés d’histoire’’ pour forcer l’attention, et à les ajuster pour fabriquer ce livre de morceaux choisis, dont l’enchaînement semblait se prêter à cette intention.
2/ Avez-vous eu des difficultés à assembler certains extraits entre eux, ou au contraire cela s’est-il fait naturellement ?
Non, je n’ai pas rencontré de difficultés particulières. A la suite d’un repérage des passages visés, j’ai prédécoupé les pages retenues et à la manière d’un puzzle, je les ai reliées entre elles, au fur et à mesure des thèmes abordés.
3/ Quelle histoire, quel message le lecteur attentif peut-il lire au travers de ses extraits assemblés ?
Le lecteur pourra selon ses préférences adhérer aux scènes que je décris ou que je suggère. Comme les principaux thèmes couvrent plutôt large, il peut se retrouver et me suivre dans mes pérégrinations.
4/ Le temps qui passe est un sujet récurrent dans vos écrits, y compris Dans la nuit intérieure. Qu’est-ce qui vous intéresse tant dans ce sujet ?
Voilà exactement un thème récurrent chez moi (et ce n’est pas le seul). Probablement parce que ce temps, je n’ai pas su bien le gérer… D’abord, je ne l’ai pas vu passer ! Aussi, je souhaite prévenir les jeunes (et les moins jeunes) de ne pas commettre les mêmes erreurs.
Ne pas se dire, on a le temps, on verra plus tard. Plus tard, c’est déjà trop tard.
5/ Enfin, qu’est-ce qui pourrait donner envie au lecteur de découvrir Dans la nuit intérieure ?
D’aimer une sorte de confrontation avec lui-même. Dans la nuit intérieure, c’est à la fois du domaine de l’intime, de l’appel des sentiments où on a plus ou moins pied, mais où le lecteur va assez vite être mêlé à cette captation.
Sans doute le fait d’entrevoir rapidement les reflets de la vie.
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